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Comment savoir si votre site WordPress est blacklisté ?
Pourquoi votre site WordPress peut disparaître de Google
Les conséquences d’un site blacklisté par Google
L’impact du blacklistage sur votre référencement
Lever le blacklistage et faire réindexer votre site WordPress
Pourquoi faire appel à un expert WordPress ?
Exemples de sites WordPress blacklistés et restaurés
Votre site WordPress n’apparaît plus dans Google ? Vous voyez un message du type « ce site peut endommager votre ordinateur » ? C’est probablement le signe que votre site WordPress a été blacklisté. Google l’a temporairement retiré de ses résultats pour protéger les internautes contre une menace potentielle : virus, piratage, contenu trompeur ou faille de sécurité. Un site WordPress blacklisté ce n’est pas seulement un problème technique. C’est une perte de visibilité immédiate, une atteinte à la réputation et parfois un frein commercial majeur. La bonne nouvelle, c’est qu’un blacklistage n’est jamais définitif. Il est possible de retirer un site de la blackliste Google et de rétablir sa présence sur le moteur de recherche en quelques jours.
L’équipe de notre assistance WordPress accompagne chaque semaine des entreprises confrontées à ce type de problème. Notre mission est de comprendre pourquoi votre site WordPress est blacklisté de Google, ainsi qu’entreprendre les actions pour que votre site internet soit à nouveau visible dans les moteurs de recherche. D’ailleurs, nous allons vous expliquer tout cela dans notre article et vous indiquer les conséquences pour votre activité et le référencement de votre site d’avoir été mis sur liste noire.
Quand un site WordPress est blacklisté, paniquer ne sert à rien. La situation se résout grâce à une combinaison d’actions plus ou moins technique. Le plus important est de ne pas supprimer votre site, ni tenter de le réinstaller sans comprendre la cause. Vous risqueriez d’effacer des données utiles à l’analyse et à la réparation. Chaque journée passée sans intervenir augmente le risque de perte de trafic et d’autorité SEO. Un site resté trop longtemps blacklisté peut mettre plusieurs semaines à retrouver son positionnement.
Voici les bons réflexes à adopter sans attendre :
Notre équipe peut vous accompagner à chaque étape. Si votre site est blacklisté ou signalé comme dangereux, appelez le 09.54.43.67.20 : l’un de nos spécialistes analysera la situation et vous indiquera la marche à suivre.
Avant d’agir, vérifiez si votre site internet WordPress est blacklisté en raison d’un problème de sécurité ou d’une désindexation. L’objectif est simple : en posant un diagnostic fiable, vous pourrez mettre en place les actions adéquates pour résoudre votre problème de visibilité dans Google.
Un site WordPress blacklisté laisse des traces. Si votre marque n’apparaît plus sur Google alors qu’elle ressortait hier, si la commande « site:votredomaine.fr » ne renvoie aucun résultat, ou si le navigateur Chrome affiche une page rouge « site trompeur » ou « ce site peut endommager votre ordinateur », considérez que votre site a été blacklisté à cause d’un problème lié à la sécurité. Des redirections vers des sites inconnus ou une chute brutale du trafic dans Google Analytics vont dans le même sens.
À l’inverse, l’absence d’alertes mais un index vide oriente plutôt vers un site non indexé Google ou une désindexation dans Google d’origine technique.
Afin d’aider le technicien à résoudre votre problème de blacklistage de votre site WordPress et appuyer votre demande de réévaluation, notez et conservez les éléments suivants :
Google Search Console reste la source la plus fiable. Consultez :
Safe Browsing de Google confirme si le domaine ou certaines URL sont signalés. Des scanners externes comme Sucuri SiteCheck ou VirusTotal détectent rapidement scripts malveillants, redirections cachées et ressources infectées. Conservez ces résultats, ils serviront lors de la demande de réexamen.
Ajoutez le site en « Propriété de domaine » et validez par enregistrement DNS. Si vous n’avez pas la main, demandez l’aide de l’hébergeur. En attendant, appuyez-vous sur Safe Browsing, Sucuri ou VirusTotal, et conservez toutes les preuves (captures, rapports, dates).
Un site WordPress blacklisté par Google se repère aux alertes affichées dans le navigateur et dans la Search Console. La cause vient souvent d’un piratage, d’un malware ou d’un contenu trompeur. Le site peut encore apparaître dans l’index, mais l’accès est bloqué par mesure de protection, ce qui déclenche le message « site dangereux » et coupe le trafic. Pour déblacklister un site et retirer un site de la liste noire de Google, il faut d’abord nettoyer l’infection puis demander un réexamen.
Une désindexation ou non indexation se manifeste sans alerte de sécurité. L’index reste vide parce qu’une directive « noindex », un robots.txt bloquant, des erreurs serveur ou un site trop récent empêchent l’indexation. Il faut corriger la cause technique, relancer l’exploration, puis demander la réindexation du site WordPress via la Search Console.

Un site peut disparaître de Google pour deux raisons principales : un site WordPress blacklisté par Google à cause d’un risque sécurité, ou un site non indexé lié à une désindexation Google d’origine technique ou SEO. Identifier la bonne cause évite les fausses pistes et guide les actions efficaces. Les paragraphes qui suivent regroupent ces causes en deux blocs clairs: technique d’une part, contenu et référencement d’autre part.
Un site WordPress blacklisté par Google provient souvent d’une faille de sécurité exploitée dans un thème ou une extension. Des scripts s’injectent dans les fichiers du site, modifient le .htaccess pour créer des redirections cachées, ajoutent des backdoors et des comptes administrateurs fantômes. Les signes sont clairs : message « site dangereux », redirections vers des domaines tiers, pages qui se chargent mal. Les thèmes et extensions piratés ou obsolètes multiplient ce risque. Télécharger hors du dépôt officiel, ignorer les mises à jour ou conserver des plugins abandonnés ouvre la porte aux malwares et déclenche un site WordPress blacklisté par Google pour raison de sécurité.
Un site peut disparaître sans piratage. Un robots.txt mal réglé peut bloquer Googlebot sur tout ou partie du site. Un HTTPS mal configuré génère des boucles de redirection ou du contenu mixte, ce qui perturbe l’exploration. Des changements DNS incomplets, des canoniques incohérents ou des redirections non maîtrisées (301/302) renvoient parfois les robots dans des impasses. Résultat : pages non explorées, budget de crawl gaspillé et, à terme, site non indexé ou désindexation Google partielle.
Google retire un site des résultats lorsqu’il estime que le contenu trompe l’utilisateur ou l’expose à un risque. Le spam, le hameçonnage, les publicités trompeuses, ou un volume important de pages dupliquées ou générées automatiquement déclenchent des alertes Safe Browsing ou des actions manuelles. Pour rétablir un site sur Google, il faut supprimer ces contenus, clarifier les messages commerciaux, réduire l’intrusivité publicitaire et relever le niveau éditorial : intention de recherche, valeur ajoutée, mises à jour régulières.
Certaines méthodes de référencement provoquent des pénalités directes. Le cloaking montre à Google une version différente de celle servie aux visiteurs. Le keyword stuffing alourdit le texte de mots-clés inutiles. Les schémas de liens artificiels, l’achat de backlinks de mauvaise qualité ou les réseaux privés de blogs entraînent des actions manuelles qui peuvent mener à un site WordPress supprimé de Google sur ses requêtes principales. Le retour à la normale passe par l’abandon de ces techniques et un profil de liens propre, prérequis à la réindexation du site WordPress.
Un site WordPress blacklisté par Google entraîne des effets immédiats sur la visibilité, la confiance et les résultats commerciaux. Les pages disparaissent des résultats des moteurs de recherche, les navigateurs affichent des avertissements, les prospects hésitent et certaines campagnes Ads se bloquent.
Quand un site WordPress est blacklisté, la visibilité s’effondre. Les pages cessent d’apparaître sur les requêtes de marque et sur la longue traîne, le trafic organique chute et vous ne recevez plus de demandes de contact ou de devis via les formulaires de votre site. Votre entreprise perd des leads à chaque minute qui passe. Et pour ne rien arranger, les navigateurs affichent des alertes qui font fuir les internautes, même s’ils proviennent des réseaux sociaux ou de votre trafic direct.
L’avertissement « site dangereux » nuit à l’image de votre organisme. Les visiteurs hésitent à revenir, les prospects repoussent leurs projets et certains clients signalent l’incident publiquement. La confiance baisse, le taux de conversion recule et les relations partenaires se tendent. Plus le message d’alerte reste visible, plus la marque s’associe à une idée de risque, même après correction.
Les campagnes Ads peuvent être suspendues ou refusées le temps où votre site WordPress est blacklisté. En plus de perdre votre trafic organique, vous perdez votre trafic payant ! De plus, les redirections malveillantes perturbent la navigation sur votre site WordPress, les paiements et les parcours clients. Résoudre un problème de site WordPress blacklisté demande du temps aux équipes technique pour diagnostiquer, nettoyer, documenter, puis demander un réexamen. Pendant ce laps de temps, les ventes, réservations ou demandes de devis diminuent, et le coût d’opportunité augmente.
Regagner la confiance des moteurs prend également du temps. Même après la levée de l’alerte, l’indexation et les positions ne reviennent pas toujours immédiatement. Les robots doivent recrawler le site, constater la stabilité des correctifs et réévaluer les signaux de qualité. Des pages peuvent rester exclues quelques jours ou semaines, les positions fluctuent. La reprise dépend de la solidité du site et de votre temps à intervenir : erreurs d’exploration corrigées, sitemap propre, maillage interne cohérent, profil de liens assaini et contenu utile remis à jour.
Un site WordPress blacklisté par Google envoie des signaux négatifs aux moteurs. L’indexation se grippe, les positions reculent et la visibilité s’érode. Sortir de la liste noire ne suffit pas toujours. Le référencement remonte quand Google constate des correctifs stables et une amélioration globale du site.
Quand un site WordPress est blacklisté, des pages stratégiques cessent d’apparaître sur des requêtes où elles performaient hier encore. La commande « site:votredomaine.fr » renvoie soudain moins d’URL, les extraits enrichis disparaissent et la Search Console classe davantage d’adresses en « Exclue ». Les positions deviennent instables, le trafic organique chute, ainsi que la visibilité de de marque. Dans le même temps, les liens entrants continuent d’exister mais leur poids est sous-évalué tant que le domaine reste associé à un risque, ce qui ralentit la réapparition des pages dans le haut des résultats.
Après nettoyage et réexamen validé, Google recrawle le site, met à jour son cache et réintègre progressivement les URL saines. Le délai varie de quelques jours à plusieurs semaines selon l’ampleur de l’incident, la profondeur des correctifs et la qualité éditoriale. Pour accélérer la remontée, concentrez vos efforts sur ces quelques leviers :
Nos SEO Managers, expert du référencement pour les sites WordPress, peuvent superviser chaque étape de cette phase de reprise, prioriser les URL, suivre les signaux dans Google Search Console et ajuster la stratégie jusqu’au retour d’une visibilité stable. Vous pouvez les contacter par téléphone au 09.54.43.67.20.
Commencez par Google Search Console. Ouvrez « Problèmes de sécurité » et « Actions manuelles » pour voir si Google signale un malware, du contenu trompeur, du spam ou une pénalité humaine. Passez ensuite par « Indexation » et l’outil « Inspection d’URL » pour vérifier l’état des pages clés. Notez les messages exacts, les exemples d’URL concernées et la date d’apparition. Complétez ce premier tableau de bord avec un test Safe Browsing et une recherche « site:votredomaine.fr » afin d’évaluer l’ampleur du retrait.
Traitez la cause avant toute demande à Google !
Mettez à jour WordPress, le thème et toutes les extensions. Supprimez les plugins et thèmes inutilisés, surtout s’ils viennent de sources non officielles. Si vous avez une sauvegarde saine, restaurez-la, puis comparez les fichiers sensibles (wp-config.php, .htaccess, thèmes, plugins) pour supprimer toute insertion suspecte. Réinitialisez tous les mots de passe (admin, FTP/SSH, base de données, API). Nous vous expliquions ici comment créer des mots de passe sécurisés. Vérifiez la liste des comptes utilisateurs et supprimez les accès inconnus. Ajoutez les clés et « salts » WordPress renouvelés, scannez wp-content/uploads et planifiez une vérification des tâches CRON. Côté serveur, corrigez les permissions de fichiers et normalisez les redirections afin d’éviter les boucles et les en-têtes incohérents.
Contrôlez le résultat avec plusieurs angles. Lancez des scans externes (Sucuri SiteCheck, VirusTotal) et un audit Wordfence depuis le site. Testez en navigation privée quelques URL critiques pour repérer d’éventuelles redirections cachées. Inspectez les logs d’accès pour identifier des requêtes anormales, validez que les pages retournent bien un code 200 et que les scripts tiers attendus sont les seuls chargés. Rafraîchissez le sitemap, supprimez les anciennes URL infectées s’il y en a, et vérifiez que « robots.txt » et les balises « noindex » sont corrects.
Quand le site est propre et stable, envoyez la demande de réexamen dans Search Console. Expliquez brièvement la cause identifiée, listez les corrections réalisées et joignez des preuves simples : captures d’écran des alertes avant/après, rapports de scan récents, date de restauration et liste des mises à jour effectuées. Précisez que les derniers contrôles ne détectent plus d’anomalies et que le site est prêt pour la réindexation.
Voici un court modèle que vous pouvez adapter :
« Bonjour, nous avons détecté le 03/10 un problème de contenu trompeur sur / et /produits/. Le 04/10, nous avons supprimé les scripts injectés, restauré une sauvegarde saine, mis à jour WordPress/thème/extensions, réinitialisé les mots de passe et supprimé des comptes suspects. Les scans Sucuri et VirusTotal du 05/10 ne relèvent plus d’anomalies. Nous sollicitons un réexamen pour retirer le site de la liste noire de Google et rétablir l’indexation. Merci. »
Ne supprimez pas le site sans sauvegarde. Vous perdriez des éléments utiles au diagnostic et un point de retour sécurisé.
Ne réinstallez pas WordPress sans nettoyage complet. Une backdoor restante réinfectera le site à la première occasion.
Ne demandez pas une réévaluation trop tôt. Un examen refusé rallonge la procédure. Attendez d’avoir des scans propres et une configuration stable.
Contacter l’un de nos experts WordPress par téléphone au 09.54.43.67.20 pour une intervention sous 24H.
Lundi 9h15. Le téléphone sonne : le gérant d’une boutique en ligne hors contrat de maintenance nous appelle en urgence. Plus de commandes, des clients bloqués au paiement, et Chrome qui affiche « site dangereux ». Il nous demande d’intervenir tout de suite. On enclenche la procédure : création d’un accès admin temporaire, envoi sécurisé des identifiants SFTP, validation côté hébergeur, signature du devis, etc…
L’audit express démarre. Rien n’a bougé sur le catalogue ni sur les promos. Les logs et les fichiers pointent un plugin de paiement resté sans mise à jour. La porte d’entrée était là. Des scripts se sont glissés dans le répertoire du plugin et dans .htaccess, déclenchant des redirections invisibles et l’alerte Safe Browsing.
Le plan d’action se déroule sans détour : sauvegarde, suppression du plugin compromis, restauration d’une version saine, mise à jour complète de WordPress, du thème et des extensions, réinitialisation de tous les mots de passe, renouvellement des « salts », nettoyage de la base et activation d’un pare-feu applicatif. Les scans Sucuri et VirusTotal confirment un site propre.
Dernière étape : la demande de réexamen dans la Search Console, message clair et preuves à l’appui. Le blocage est levé, la réindexation reprend et le tunnel de paiement refonctionne. Le commerçant garde une règle simple en tête: maintenir les plugins critiques à jour et éviter toute source non officielle.
Mardi 14h40. La chargée de communication d’un site site vitrine d’une entreprise de nettoyage à Paris nous contacte car les mobinautes ne tombent pas sur son site, mais sur une page de loterie… L’interlocuteur technique a déjà sa petite idée du problème. Le test de reproduction confirme le scénario: redirection qui ne se déclenche qu’avec un user-agent mobile et un referer venant de Google.
L’audit révèle l’origine. Dans .htaccess, des règles conditionnelles ciblent certains navigateurs et sources de trafic. Dans header.php, un script obfusqué injecte la redirection. Une tâche CRON recrée les modifications à intervalles réguliers. Le plan d’action suit: sauvegarde complète, suppression des règles et du script, nettoyage de la base (options et posts infectés), désactivation puis mise à jour de toutes les extensions, réinitialisation des mots de passe, renouvellement des « salts », audit des comptes admin et suppression des accès inconnus. On durcit la configuration: permissions de fichiers revues, DISALLOW_FILE_EDIT activé dans wp-config.php, en-têtes de sécurité ajoutés, pare-feu applicatif et journalisation active.
Les vérifications passent au vert. En navigation privée, plus aucune redirection. Les scans Sucuri et VirusTotal confirment un site propre. On dépose la demande de réexamen dans la Search Console, preuves à l’appui. Le blocage est levé, les pages réapparaissent progressivement et les visites mobiles redeviennent normales. Morale côté équipe: ne jamais minimiser une redirection « vue seulement sur mobile », et surveiller .htaccess et header.php aussi attentivement que les plugins.
Vendredi 10h30. Le propriétaire d’un blog pro nous appelle : sur sa requête de marque, Google affiche des pages en japonais qui vendent des sacs. La recherche « site:votredomaine.fr » révèle des dizaines d’URL inconnues. En Search Console, le volume d’exploration grimpe et des pages mystérieuses apparaissent. Le tableau correspond au « Japanese keyword hack ».
Nous lançons une analyse. Dans la base de données, des articles injectés et des menus fantômes ; dans les options, des liens sortants vers des boutiques louches ; dans les comptes, un admin ajouté discrètement. Typique d’une attaque de site WordPress. Le nettoyage s’enchaîne : suppression des contenus générés, purge des tables touchées, retrait du compte pirate, réinitialisation de tous les mots de passe, renouvellement des « salts ». Mise à jour de WordPress, du thème et des extensions, désactivation des plugins abandonnés, pare-feu applicatif activé.
Côté SEO, on assainit pour accélérer le retour à la normale. Les URL fantômes passent en 410, le sitemap est régénéré, l’Inspection d’URL relance l’indexation des pages piliers. Un désaveu vise quelques backlinks manifestement artificiels. On rafraîchit les contenus clés et on clarifie le maillage interne. Les scans Sucuri et VirusTotal repassent au vert, la demande de réexamen part avec captures et rapports. Le blacklistage est levé, la SERP de marque se nettoie en quelques jours, puis la longue traîne remonte par paliers avec un suivi régulier dans la Search Console.
Prévenir coûte moins que réparer. La sécurité d’un site WordPress repose sur trois piliers : un socle technique solide, une maintenance régulière et un suivi SEO attentif. Voici des repères concrets pour réduire les risques de blacklistage et garder votre site WordPress sain dans la durée.
La sécurité commence par des fondations propres. Visez un hébergement fiable, des accès limités et un chiffrement correct.
Les mises à jour et les contrôles évitent les surprises. Mieux vaut un petit rituel que de gros dégâts.
C’est ce que nous proposons dans le cadre de notre contrat de maintenance WordPress. Pour en savoir plus sur ce service, contactez notre équipe WordPress au 09.54.43.67.20.
Un site propre doit aussi rester lisible pour Google.
Vous avez maintenant une méthode claire : diagnostic rapide dans Search Console et avec les outils tiers, nettoyage complet du site et des accès, vérification multi-scans, demande de réexamen argumentée, puis prévention continue (socle technique, maintenance, suivi SEO). C’est cette séquence qui remet un site WordPress blacklisté sur de bons rails et limite l’impact sur la visibilité et la réputation. La vitesse d’action fait la différence. Plus l’intervention est rapide, plus la réindexation et la reprise du trafic sont fluides. Ne laissez pas la situation s’installer : centralisez les preuves, corrigez, documentez, puis sollicitez le réexamen dès que tout est propre et stable.
Site WordPress blacklisté ? Intervention express.
Diagnostic et nettoyage sous 24H.
09.54.43.67.20 – Assistance-WP.
Faites trois tests rapide :
Les motifs les plus fréquents sont le piratage avec malware, le contenu trompeur ou de phishing, des redirections frauduleuses, ou des pratiques SEO agressives. Des erreurs techniques peuvent aussi empêcher l’exploration : robots.txt bloquant, noindex, HTTPS mal configuré.
Un site blacklisté affiche des alertes sécurité dans le navigateur et dans la Search Console. Une désindexation n’affiche pas d’alerte ; les pages sont absentes de l’index pour des raisons techniques ou SEO. La Search Console permet de trancher rapidement.
Nettoyez l’infection, mettez à jour WordPress, thèmes et extensions, réinitialisez tous les accès, puis confirmez l’absence d’anomalies avec des scans récents. Ensuite, envoyez une demande de réexamen dans la Search Console en joignant des preuves simples (captures, rapports, dates des correctifs).
Les causes courantes sont une directive noindex active, un robots.txt bloquant, un sitemap manquant, des erreurs serveur répétées, ou un site trop récent sans liens. Corrigez ces points et soumettez vos URL clés via l’Inspection d’URL.
Le contenu peut être trop faible ou mal aligné avec l’intention de recherche. Le maillage interne, les données structurées et les liens entrants comptent aussi. Travaillez les pages piliers, la structure du site et la qualité éditoriale pour gagner des positions.
Un nouveau domaine met un peu de temps à être découvert. Sans liens ni sitemap, Google peut passer à côté. Validez la propriété dans la Search Console, soumettez le sitemap, créez un maillage interne optimal et obtenez quelques backlinks pertinents.
Après un nettoyage complet et un réexamen accepté, la levée d’alerte peut intervenir en 24 à 72h pour un problème sécurité. La réindexation et la reprise des positions s’étalent souvent sur quelques jours à quelques semaines selon l’ampleur de l’incident et la stabilité des correctifs.
Validez la propriété dans la Search Console, vérifiez robots.txt et les balises d’indexation, soumettez un sitemap propre et demandez l’indexation des pages clés. Publiez des contenus utiles, reliez-les avec un maillage interne clair et créez quelques liens de qualité vers vos pages.
Améliorez les contenus prioritaires, renforcez le maillage interne, corrigez les points techniques (HTTPS, canoniques, redirections), optimisez les Core Web Vitals et consolidez des liens éditoriaux fiables. Suivez l’évolution dans la Search Console et ajustez chaque semaine.
La Search Console envoie des alertes si la propriété du site est validée. Sans validation, vous ne recevez pas ces messages, même si le navigateur bloque l’accès via Safe Browsing. Validez la propriété et activez les notifications e-mail.
Oui. Un plugin ou un thème obsolète ou téléchargé hors source officielle peut contenir une faille ou du code malveillant. Installez depuis des dépôts fiables, mettez à jour régulièrement et supprimez les extensions abandonnées.
Appliquez un cycle de maintenance régulier: mises à jour, sauvegardes testées, 2FA sur les comptes, WAF actif, audits de sécurité mensuels et surveillance Search Console. Côté SEO, gardez un contenu utile, un maillage interne propre et un profil de liens sain.